Parler « mal » pour parler mieux
Pourquoi les Anglo-Canadiens ont-ils autant de mal à comprendre le « français d'icitte » ?
Réflexions d'un anglophone sur l'enseignement du « bon français » au Canada.
Pourquoi les Anglo-Canadiens ont-ils autant de mal à comprendre le « français d'icitte » ?
Mes élèves anglophones expriment une curiosité aiguisée pour cette particularité de la langue française qui n’existe pas en anglais.
L'élève est sorti de ses gonds quand j'ai changé « ce que je me souviens » en « ce dont je me souviens » sur sa copie.